Comme si le chemin,
Traversait l'ombre des arbres,
Pour mener quelque part...
Botquin Jean - Mai 2014
Comme si je marchais derrière toi,
Le coeur en bandoulière,
Sans penser à demain...
Comme si le chemin,
M'indiquait où tu étais passé,
Sans même trouver tes empreintes...
Comme si les ombres des arbres,
Cachaient en elles, tes poèmes secrets,
Que j'effleure du bout de mon coeur...
Comme si le soleil, était le lien,
Entre ton âme et mon âme,
Portées par l'amour aux femmes...
Comme si sur le parchemin,
Où s'unissent nos poèmes,
Coulait l'encre de notre amitié...
Comme si mon sang mêlé de napolitains tanins,
et de vers Breliens,
M'avaient porté sur ton chemin...
J'entends au loin,
En bordure du bois de Mariemont,
Ta voix qui susurre des haïkus,
A ta dulcinéa...
Car moi aussi, bien qu'étant éloigné,
Je marche encore souvent en pensées,
Sur le chemin que tu as emprunté...
Comme si le chemin nous était prédestiné...
A toi, Jean, avec toute mon affection poétique
Pascal Monda
15/05/2014
Toujours aussi joli !!!!! Sylvie
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