Aux cieux de tes regards,
Le soleil fait toujours ombrage,
Pour bercer la lumière de ton âme...
Aux cieux de tes yeux,
Les nuages font pleuvoir,
Tes larmes d'espoir...
Sans humilité, sans simplicité,
Un ciel d'orages pourrait être lourd à porter,
L'amour serait une bataille perpétuelle sans retour, à bout de vérités,
Comme plongé dans les abysses du temps, où nos coeurs battraient à reculons.....
Et lorsque le murmure des arbres souffle et s'envole vers l'empyrée,
Le soleil s'étire et répand sa gaieté,
au-delà de l'immensité,
Où nos âmes se reposent pour tout un été...
Le poète retrouve alors le calme, d'un monde qu'il a réinventé,
Au large de ses paysages rêvés,
Libre à satiété...
Pascal MONDA
08/05/2014
Le soleil fait toujours ombrage,
Pour bercer la lumière de ton âme...
Aux cieux de tes yeux,
Les nuages font pleuvoir,
Tes larmes d'espoir...
Sans humilité, sans simplicité,
Un ciel d'orages pourrait être lourd à porter,
L'amour serait une bataille perpétuelle sans retour, à bout de vérités,
Comme plongé dans les abysses du temps, où nos coeurs battraient à reculons.....
Et lorsque le murmure des arbres souffle et s'envole vers l'empyrée,
Le soleil s'étire et répand sa gaieté,
au-delà de l'immensité,
Où nos âmes se reposent pour tout un été...
Le poète retrouve alors le calme, d'un monde qu'il a réinventé,
Au large de ses paysages rêvés,
Libre à satiété...
Pascal MONDA
08/05/2014
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