J'aimerais caresser le fil de l'eau,
Comme l'on caresse les cheveux d'une femme,
J'aimerais prendre une gorgée,
Et la boire entre mes mains,
J'aimerais sentir son parfum,
Et renaître sans fin...
Comme la nature sculpte cette vigne,
J'aimerais laisser glisser mes doigts,
Sur ce bois digne,
des meilleurs vins...
Et dans ce foisonnement de papyrus,
J'aimerais marcher,
écoutant tous les bruissements et les piaillements des oiseaux si familiers,
A cet été qui ne voulait pas mourir...
Qu'il est bon de se ressourcer aux limites de la nature et de se fondre en elle, le temps d'une balade...
Pascal Monda - 07/11/2013
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