L'été jetait ses dernières cartes,
L'automne affichait ses prémices,
Le soleil se cachait derrière ses nuages
gris écarlates,
La vigne avait donné tous ses fruits,
Son pied s'était fissuré,
Abandonnant sa rigidité...
L'eau coulait, roucoulait sur les pierres ancestrales,
rappelant mille souvenirs au poète assis face à la lumière,
L'éternel était là, tout près de là,
Le poète l'avait attendu mille fois,
La nature le chantait à tue-tête,
Et moi je rêvais à l'infini recommencement...
Pasquale Monda
13/09/2013
L'automne affichait ses prémices,
Le soleil se cachait derrière ses nuages
gris écarlates,
La vigne avait donné tous ses fruits,
Son pied s'était fissuré,
Abandonnant sa rigidité...
L'eau coulait, roucoulait sur les pierres ancestrales,
rappelant mille souvenirs au poète assis face à la lumière,
L'éternel était là, tout près de là,
Le poète l'avait attendu mille fois,
La nature le chantait à tue-tête,
Et moi je rêvais à l'infini recommencement...
Pasquale Monda
13/09/2013
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