vendredi 26 avril 2013

Venise s'était endormie dans mes bras...



Sous le soleil de juin,
Venise offrait ses canaux,
Paisibles,
Appelant à la méditation...


Et moi passant sur un pont,
Je m'imaginais un amour,
Sans barrières ni retours en arrière...


L'ombre de Casanova planait encore d'ici de là...
D'un palais à l'autre, d'une ruelle à l'autre,
Si bien que l'on aurait pu se croire à l'orée d'un autre siècle...


Ce matin là, je marchai, sans m'arrêter nullement,
Mon coeur était gonflé d'espérances,
Et mon âme d'un parfum de femme...


Poi Venezzia, è andata via dei miei pensieri...

Depuis j'ai abandonné les masques,
Trop dorés et magnifiques,
Que mon coeur ne savait plus porter...


Le rêve éclata...
Et je me perdis au milieu des ponts et des rues...
Prêt à m'évader...

Venise s'était endormie dans mes bras...


Pasquale
26/04/2013




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