Au jardin de Voltaire, assis à la lumière d'un printemps renouveau de ma vie, le temps avait invité les couleurs à renaître infiniment...Je reconnaissais cet écrin de verdure, aux pieds d'un tulipier de Virginie, et les mots coulaient de ma plume, comme les fleurs oranges de cet arbre centenaire...
Au jardin de Voltaire, mes vers s'étaient parfumés de tes sourires et de ton amour...
Jamais plus, les printemps seraient tristes...
pasquale M.
20/805/2011



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