Chers lecteurs, Chères lectrices,
Je voudrais vous présenter aujourd'hui, mon ami poète, qu'est Jean Botquin. Je le connais depuis quelques années maintenant, et la poésie est devenue notre langage, ainsi que le langage de notre amitié... Je vous invite à le découvrir plus amplement en lisant cet article. Bonne lecture.
Pasquale Monda
Mai 2013
Le ciel d'automne


Je voudrais vous présenter aujourd'hui, mon ami poète, qu'est Jean Botquin. Je le connais depuis quelques années maintenant, et la poésie est devenue notre langage, ainsi que le langage de notre amitié... Je vous invite à le découvrir plus amplement en lisant cet article. Bonne lecture.
Pasquale Monda
Mai 2013
JEAN
BOTQUIN
Né le 26 juillet 1932, de père belge et de mère française, Jean
Botquin, après des humanités gréco-latines, en néerlandais,
obtint un diplôme de Droit à l’Université de Louvain où il fit
ses débuts en littérature. Après un long silence pendant lequel il
ne cessa d’écrire poésie et nouvelles, il se lança enfin dans
la publication de deux ouvrages en prose, inspirés de sa vie
professionnelle dans le milieu bancaire :
-L’arbre des Exécuteurs, roman (1995) qui obtint le prix G.
Flaubert à Mâcon en 1998, et publié sous le pseudonyme de Régis
Maldague chez Claude Dejaie;
-La transhumance des banquiers, récit (1996) décrivant
l’exode d’une banque belge en France, en 1940 (Quorum,
Ottignies).
Suivirent plusieurs recueils de poésie entre 1997 et 2006 :
-Le creux de l’espoir, en 1997, (Éditions de l’Acanthe,
préface de Jacques Dedecker);
-Triangles de la nuit des temps et
-Le passeur d’un fleuve trop court, en 1998 (Memory Press-
Érezée- André-Marcel Adamek);
-Le front haut, Lauréat des Joutes littéraires de Bourgogne,
en 1999, chez le même éditeur ;
-La mer Occitane, prix du Festival du livre de la mer à
Argelès-sur-mer (2002), préface de Christian Libens, et
-Élégie pour un kaléidoscope, prix Stephen Liégeard
(2004), en 2002, préface de Jean Dumortier , anciennes
éditions Mémory Press (André-Marcel Adamek);
-Ténéré, grand prix de la Communauté Française Fureur de
Lire (2004) et 2ieme prix Wilfrid Lucas de la S.P.A.F. (2006), en
2004, aux Éditions Mémor, Bruxelles.
Entretemps, en 2000, un deuxième roman avait vu le jour, La
blessure de l’obsidienne, suivi en 2006 d’un troisième,
Boris et Boris, aux anciennes Éditions Mémory Press
(Adamek).
En 2008, il publia un recueil de 19 nouvelles, dont 8 sont
détentrices d’un prix de la nouvelle, sous le titre de La
gondole de l’Orient Express, aux Éditions Mémory Press à
Tenneville.
Il participa aussi à plusieurs ouvrages collectifs :
-Cercles (2005) (Quadrature)
-Jardins en Pays de Liège (2005);
-Et le monde regarde (2007) ;
-Anthologie du Grenier Jane Tony (2007) ;
-Étranger j’écris ton nom (2007) ;
-Droits de l’homme, j’écris vos noms (2008) ;
-Anthologie, piqués des vers de l’Espace Nord.
Il renoue avec la poésie, en 2009 avec un recueil de haïkus, La
Chambre noire du calligraphe, Éditions du Cygne, Paris, préfacé
par Piet Lincken, suivi un an plus tard d’un nouveau recueil,
Bréviaire d’un quotidien, aux mêmes éditions. Il
affirme ainsi une maîtrise particulière dans l’écriture de
textes courts.
En voici quelques extraits ;
Il caresserait
Les pétales du désir
Au soleil couchant (La Chambre noire du calligraphe)
Le ciel d'automne
Emprunte de la rouille
Aux branches faitières
Soir et matin se
Confondent en balades
D'incertitudes (Bréviaire d'un quotidien)
En avril 2012, il publie son dixième recueil de poésies : «
Strates du Souvenir » aux Editions du Cygne, qui réunit
une cinquantaine de textes d’époques diverses. En publiant ce
recueil pour ses 80 ans, il nous offre un voyage dans ses souvenirs,
nous promenant dans ses poèmes de jeunesse autant que dans ceux de
la maturité… Ce recueil est aussi un hymne à la vie et à
l’amour…
Jean Botquin est également membre sociétaire de l’A.E.B. et
administrateur de l’Association royale des écrivains wallons.
Il est actif sur Internet où il tient un blog à l’adresse de :
http://jeanbotquin.blogspot.com.
On peut y trouver notamment de nombreuses informations sur ses livres
et son activité littéraire. Pour ceux qui connaissent Facebook, on
peut également l'y suivre...
Voici
quelques uns de ses vers issus d'un de ses derniers voyages en Baie
de Somme :
Sans jamais savoir pourquoi
Elle avance sans toi
Bras
de mer en Somme
Lorsque
la nuit se réveille
languissante et pourpre
Jean
Botquin
5
rue Ferdinand Gossuin
7100 Haine-Saint-Pierre


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